L’étude de l’histoire est souvent associée à un apprentissage servile de dates et de notions. À ceux qui comme Nietzsche critiquent les historiens dont la devise serait « Laissez les morts enterrer les vivants », Johann Chapoutot répond à sa suite : « Laissez les vivants enterrer les morts ». Il plaide ici pour la réconciliation de l’histoire et de la liberté.