L’identité ne fait pas partie du vocabulaire habituel de la psychanalyse qui préfère à ce mot, celui d’identification. S’appuyant sur des exemples filmiques, dont notamment « Le Mépris » (1963) de Jean-Luc Godard, « Pas de printemps pour Marnie » (1964) d’Alfred Hitchcock , « La communauté » (2016) de Thomas Vinterberg, Clotilde Leguil nous introduit à ce qui est inassimilable par le commun. Elle nous aide à saisir la part irréductible de chaque sujet. Elle nous invite « à lâcher les amarres » de l’identité. Pour faire résonner un ordre plus grand que soi, ouvrant les vannes de l’inconscient.