Pour Marc Crépon, l’identité est toujours relationnelle : elle est la résultante de toutes nos rencontres. Et cela vaut aussi bien pour l’individu que pour le collectif dont la culture se nourrit toujours de l’extérieur. Penser l’identité comme un devenir évite de tomber dans le “piège identitaire” qui conduit toujours à la violence.