La science moderne, depuis Descartes, a déconsidéré le vivant au point de le réduire à une simple mécanique comparable à un automate. À rebours de cette histoire qui nous a conduits à penser que tout est mécanisable, les animaux, les plantes, et aujourd’hui notre esprit, le philosophe entend réhabiliter l’idée que le vivant pense, sent, et ne peut se réduire à des opérations algorithmiques.